1933-1934 : CONCERTS LAMOUREUX ET PASDELOUP. La guerre n’a pas stoppé l’activité artistique de la salle Gaveau, qui a été utilisée pour des galas au profit des soldats et des victimes du conflit. Après la guerre, la salle a connu une période particulièrement brillante avec les concerts Lamoureux et Pasdeloup. De grands chefs d’orchestre y ont dirigé, notamment Charles Munch le 28 octobre 1933. Le célèbre pianiste Rudolph Serkin s’est produit le 2 décembre 1933, tandis que Wanda Landowska a donné un récital sur un clavecin Pleyel le 7 novembre 1933. En 1934, Yves Nat a interprété les sonates de Beethoven.
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Benoit Duteurtre
Très lié à mes parents, musiciens et enseignants, Benoit Duteurtre était intégrée à notre vie familiale en Normandie. Il se joignait donc souvent à nos repas, et aux soirées musicales que nous organisions régulièrement.
Il communiquait régulièrement avec ma mère, (qui fût son professeur de musicologie à l’université de Rouen), sur leurs idées et écris musicologiques;
Cette proximité lui permet aussi de prendre des leçons avec mon père Olivier Bernard, pianiste et compositeur, professeur au Conservatoire Régional de Rouen.
Il avait depuis longtemps deux chambres dans la maison de mes parents, en Normandie, afin de venir écrire au calme.
Benoit est mort récemment, et va beaucoup nous manquer. Aussi je poste ici un petit rappel de sa biographie.
Requiem pour une avant-garde** est un essai publié en 1995 qui examine et critique la musique contemporaine ainsi que son institutionnalisation en France. Cet ouvrage suscite de vives réactions dans la presse. Dans Le Monde, Anne Rey établit une comparaison entre Duteurtre et le révisionniste Robert Faurisson. En réponse, Duteurtre attaque le journal et remporte son procès, ce qui oblige Le Monde à publier son droit de réponse. Des publications telles que Le Point, Le Monde de la musique, Diapason et l’International Herald Tribune soutiennent également le travail de l’auteur. Bien qu’une part significative de cet essai soit dédiée à la critique de l’œuvre et de l’influence de Pierre Boulez, Benoît Duteurtre aborde également la question d’une certaine nostalgie pour la Belle Époque et ses répercussions sur la France contemporaine. Cette thématique réapparaîtra fréquemment dans ses romans ultérieurs.
En 1996, le roman **Gaieté parisienne** est publié, explorant la communauté gay de Paris. Le protagoniste, un homme sur le point d’atteindre la trentaine, s’inquiète de la monotonie de son existence. En 1997, **Drôle de temps**, un autre roman, remporte le prix de la nouvelle de l’Académie française. Milan Kundera en fait une critique bienveillante dans *Le Nouvel Observateur* et rédige la préface de l’édition Folio. Philippe Muray écrit également un article qui, tout en soulignant la perspicacité des personnages et des situations de Duteurtre, met en avant le rôle de l’écrivain dans la société.
En 1999, **Les Malentendus** est publié, mettant en scène un jeune immigré arabe, une femme chef d’entreprise, un étudiant de Sciences Po et un handicapé homosexuel, dont les destins se croisent et s’influencent mutuellement. En 2001, son roman **Le Voyage en France** reçoit le prix Médicis. Dans cette œuvre, un jeune Américain fasciné par le Paris de la fin du XIXe siècle découvre la France contemporaine et croise le chemin d’un homme, journaliste vivant à Paris, qui oscille entre des périodes de dépression et d’euphorie.
**Service Clientèle**, publié en 2003, se compose de courts chapitres traitant des défis rencontrés face aux services d’assistance commerciale et technique des entreprises proposant des téléphones mobiles, des billets d’avion ou des connexions Internet. Cette œuvre, traduite dans plusieurs langues, est également commentée avec bienveillance par François Taillandier dans le quotidien *L’Humanité*.
« La Rebelle », un roman publié en 2004, retrace la vie d’une présentatrice de télévision de gauche, ambitieuse et carriériste, qui croise la route d’un jeune informaticien égyptien homosexuel, d’un escroc et du PDG d’une grande entreprise française. En 2005, « La Petite Fille et la cigarette » voit le jour, relatant la chute d’un fonctionnaire et les répercussions de la dernière requête d’un condamné à mort. Ce roman, traduit en une vingtaine de langues, est adapté sur scène en République tchèque et en Roumanie. En 2013, il devient sujet de polémique aux États-Unis après avoir été plagié par l’acteur Shia LaBeouf sous le titre « Stale N Mate ». Une version dessinée de ce livre, réalisée par Sylvain-Moizie, sort en 2016 aux éditions La Boîte à Bulles. « Chemin de fer », publié en 2006, présente le journal intime d’une femme quinquagénaire, partagée entre sa brillante carrière parisienne et son amour pour une petite maison dans un village montagnard, où elle tente de s’éloigner du monde moderne. Ce roman est également une réflexion sur l’évolution de notre société et le progrès, qui semble souvent conduire à des régressions. Benoît Duteurtre contribue aussi à la fondation de la revue littéraire « L’Atelier du roman », aux côtés d’auteurs tels que Milan Kundera et Michel Houellebecq. En mars 2007, il publie un article intitulé « Muray est une fête », à l’occasion de l’anniversaire de la mort de Philippe Muray. Deux numéros de « L’Atelier du roman » sont consacrés à « Voyage en France » (n° 31) et à l’œuvre de Benoît Duteurtre (n° 76).
« Chemin de fer », publié en 2006, dévoile le journal intime d’une femme d’une cinquantaine d’années, qui jongle entre sa carrière brillante à Paris et son attachement à une modeste maison dans un village de montagne, où elle cherche à s’éloigner des tumultes du monde moderne. Cette œuvre propose également une réflexion sur l’évolution de notre société et sur un progrès qui semble souvent s’accompagner de régressions.
Benoît Duteurtre contribue à la création de la revue littéraire « L’Atelier du roman », aux côtés d’auteurs tels que Milan Kundera et Michel Houellebecq. En mars 2007, il publie un article intitulé « Muray est une fête », à l’occasion de l’anniversaire de la mort de Philippe Muray. Deux numéros de « L’Atelier du roman » sont dédiés au « Voyage en France » (n° 31) et à l’œuvre de Duteurtre (n° 76).
En août 2007, « La Cité heureuse » présente Town Park, une ville fictive transformée en parc d’attraction culturel, gérée par une entreprise nommée la Compagnie. Parmi les résidents devenus animateurs, un scénariste de séries télévisées tente de s’adapter aux nouvelles tendances. La même année, il publie « Ma belle époque », un recueil d’articles parus dans la presse, que l’auteur décrit comme « une sorte d’autoportrait ».
« Les Pieds dans l’eau », sorti fin août 2008, évoque la relation de Duteurtre avec la plage d’Étretat, station balnéaire qu’il a longtemps fréquentée. Ce récit autobiographique explore également son milieu social et sa famille, marqués par la figure de son arrière-grand-père, le président René Coty.
En 2009, « Ballets roses », publié chez Grasset dans la collection « Ceci n’est pas un fait divers », s’intéresse aux aventures d’André Le Troquer, ancien résistant et président de l’Assemblée, avec de jeunes adolescentes. « Le Retour du Général », sorti en mars 2010, imagine le retour du Général de Gaulle, âgé de 120 ans, dans la France contemporaine. Il est suivi de deux romans autobiographiques : « L’Été 76 », inspiré de l’adolescence de l’auteur, et « À nous deux Paris », qui retrace les débuts parisiens d’un personnage ressemblant à Duteurtre dans les années 1980.
Dans « Polémiques » (2013) et « La Nostalgie des buffets de gare » (2015), Duteurtre compile diverses réflexions sur la société moderne, notamment sur l’évolution des voyages en train. Son roman « L’Ordinateur du Paradis », une fantaisie sur la surveillance généralisée, nous plonge dans un paradis évoquant un centre commercial et figure parmi les premières sélections du prix Goncourt 2014.
Enfin, « Livre pour adultes », publié en 2016, est un roman très personnel où l’auteur mêle souvenirs, essais, fictions, humour et nostalgie. Ce livre est également présent en 2016 dans les sélections des prix Renaudot, Interallié, et du grand prix du roman de l’Académie française.
Carrière musicale
En 1991, Benoît Duteurtre est désigné conseiller musical pour la Biennale de Lyon dédiée à la musique française. Cette mission lui permet de collaborer avec Manuel Rosenthal, chef d’orchestre et ancien élève de Maurice Ravel. La même année, il rencontre le compositeur Olivier Messiaen, qu’il considère comme « le dernier véritable génie de la musique française ». En 1993, il prend la direction de la collection Solfèges aux éditions du Seuil. En 1995, aux côtés de Marcel Landowski, il cofonde l’association Musique nouvelle en liberté pour soutenir la création musicale contemporaine. Depuis 2000, il en assure la présidence avec Jean-Claude Casadesus à sa tête. Reconnu comme une figure influente dans le domaine musical, particulièrement dans les cercles politiques de droite, il a travaillé dans les années 1990 avec Marcel Landowski, ancien directeur des affaires culturelles de la Ville de Paris.
En mars 2004, le texte de Duteurtre pour la comédie musicale Vive l’Opéra-Comique de Jérôme Savary est mis en scène à l’Opéra-Comique à Paris. En 2008, il adapte le livret de l’opérette Véronique d’André Messager, dirigée par Fanny Ardant au Théâtre du Châtelet.
Par ailleurs, Duteurtre donne chaque année des conférences à la Fondation Singer-Polignac sur divers thèmes musicaux.
En 2005, il est élu membre de l’académie Alphonse-Allais.
Radio et télévision
Benoît Duteurtre est l’initiateur et présentateur de l’émission télévisée Les Folies de l’opérette, diffusée en 2005 sur France 3 et France 5. Entre 1996 et 1999, il anime l’émission radiophonique Les Beaux Dimanches sur France Musique, à l’invitation de Jean-Pierre Rousseau. Depuis 1999, il produit et présente Étonnez-moi Benoît, une émission hebdomadaire sur France Musique, dédiée à l’opérette, à la chanson populaire et à la musique légère. Il y invite divers artistes et experts, dont Pierre-Marcel Ondher et Serge Elhaïk, spécialistes des grands orchestres de variétés.
Depuis plusieurs années, il présente également le Concert du nouvel an de Vienne, diffusé chaque 1er janvier sur France 2.
Traduit dans une vingtaine de langues, Duteurtre collabore en tant que journaliste avec Marianne et tient des chroniques régulières pour Le Figaro littéraire, Le Monde de la musique et Classica. Il a également siégé au comité de lecture des éditions Denoël.
En 2018, il se présente à l’Académie française, mais l’élection du 22 novembre ne consacre ni lui, ni son rival Pascal Bruckner.
Vie privée et prises de position
En novembre 2013, Benoît Duteurtre signe le « Manifeste des 343 salauds », publié dans la revue Causeur, en soutien aux hommes ayant recours à la prostitution.
Bien qu’ouvertement homosexuel, il défend l’idée selon laquelle « l’hétérosexualité demeure la norme, tandis que l’homosexualité représente une exception », malgré les efforts pour promouvoir une égalité entre les deux orientations. Dès 1996, il avait soutenu une pétition en faveur du « CUC », précurseur du PACS. Cependant, durant les débats sur le mariage pour tous, il émet des réserves, critiquant certains homosexuels qui, selon lui, « voient dans le mariage une manière de valider leur sexualité minoritaire, influencés par la théorie du genre et le désir d’avoir des enfants ».
Duteurtre critique également Anne Hidalgo, maire de Paris, dans son livre Les Dents de la maire : Souffrances d’un piéton de Paris. Ses critiques envers la capitale remontent à 2001, préférant vivre en Normandie ou à New York, jugeant que « le monde moderne semble s’être installé dans un décor historique » à Paris, ville où il avait pourtant remporté le prix Médicis mais dans laquelle il ne se sentait pas vraiment chez lui.
Décès
Benoît Duteurtre décède d’une crise cardiaque le 16 juillet 2024 à Vandœuvre-lès-Nancy, après avoir été victime d’un malaise dans sa résidence secondaire au Valtin, dans les Vosges. Il meurt à 64 ans et est enterré au cimetière du Valtin.
Biographie : source : Wikipedia
La FONDATION SINGER-POLIGNAC
Le Piano
Le Piano
Introduction au Piano :
Le piano, un instrument de musique polyphonique, est doté d’un clavier et appartient à la famille des cordes frappées. Il se décline en deux variantes :
- Le piano droit, avec des cordes disposées verticalement.
- Le piano à queue, où les cordes sont disposées horizontalement.
- Il existe aussi des pianos numériques, qui ne possèdent pas de cordes mais intègrent des haut-parleurs pour produire le son.
Origines et Nom du Piano :
Son nom provient de « piano-forte », son prédécesseur du XVIIIe siècle. Il peut varier en intensité sonore grâce à la frappe des touches, passant progressivement de nuances douces (piano) à des nuances fortes (forte). Cette capacité d’expression dynamique est impossible avec d’autres instruments comme le clavecin, l’épinette ou l’orgue.
Structure du Piano :
Le piano est un instrument polyphonique à clavier, avec des cordes frappées par des marteaux. Les cordes sont tendues devant une table d’harmonie, où elles transmettent leurs vibrations via un chevalet. Des marteaux recouverts de feutre les frappent lorsque les touches du clavier sont enfoncées. Un étouffoir en feutre, plus doux, arrête la vibration lorsque la touche est relâchée. Le clavier standard compte 36 touches noires et 52 touches blanches, totalisant 88 touches.
Types de Pianos :
Les deux principaux types de pianos sont les pianos droits et les pianos à queue. Ils sont équipés de trois pédales. La pédale de gauche réduit le volume, celle du milieu étouffe ou maintient une note, tandis que celle de droite prolonge la résonance de toutes les notes jouées.
Développement et mutations du piano-forte :
On peut parler d’une période transitoire du piano entre la mort de Mozart (en 1791) et celle de Schubert (en 1828) ;
Durant la longue période s’étendant de 1780 à 1890, le piano-forte de l’époque classique va subir de nombreux changements qui vont l’amener à sa forme actuelle de « piano moderne ». Cette évolution a été motivée par le besoin des compositeurs et des pianistes d’un son plus puissant, et de plus grandes possibilités expressives.
Des facteurs de piano profitent de nouveaux procédés technologiques pour produire des cordes en acier de qualité et des cadres en fonte plus performants.
La tessiture augmenta, pour passer de 4 octaves et demie (5 octaves à l’époque de Mozart, 6 1/2 à l’époque de Chopin) aux 7 octaves 1/4, et parfois plus. Postérieurement 8 octaves voire, aujourd’hui exceptionnellement, 8 1/2. Au fil des années, les instruments devinrent plus grands, plus puissants, et plus robustes.
Naissance du Piano moderne
Un collaboration concurrentielle entre les facteurs situés dans les grandes puissances qui possédaient un usage social ou individuel de la musique, explique le développement que le piano moderne a connu au XIXe siècle.
Tandis que la bourgeoisie adoptait l’instrument et la pratique musicale, les musiciens-compositeurs sont passés du rang de laquais à celui de génies, et les pianos ont profité du développement industriel et scientifique.
Les Français, les Britanniques, les Allemands et, pour finir, les Américains ont été les acteurs de la transformation de l’instrument.
Dans les années 1820, le facteur de piano Sébastien Érard (1752-1831) est à la tête des pianos Érard, robustes. Il est en concurrence avec le facteur autrichien Ignace Pleyel (1757-1831), fondateur des pianos Pleyel, plus légers.
Tandis que Chopin préférait la légèreté des pianos Pleyel, Liszt préférait Érard.
– La firme Érard apporta les innovations les plus importantes, du point de vue de la mécanique de l’instrument : elle déposa le brevet du système à répétition double échappement, qui permet à une note d’être rapidement rejouée, même si la touche n’est pas encore revenue à sa position initiale ; une innovation que les grands virtuoses apprécieront. Le principe dit du « double échappement » devint finalement le mécanisme standard des pianos à queue.
Pleyel s’entoura d’excellents professionnels. Camille Pleyel (fils d’Ignace) fit construire à Paris une salle de concert portant le nom de son père (la salle Pleyel, inaugurée en 1927).
Mais la production française aura, à l’origine, largement bénéficié des apports de l’école d’outre-Rhin.
Jean-Henri Pape, à Paris, semble avoir été à l’origine d’innovations importantes : dès 1813 il filait (avec du cuivre) les cordes en acier pour les basses du piano. En 1826, il remplace la couverture en cuir des marteaux par du feutre (laine de mouton) bien tassé, permettant une harmonisation plus subtile du timbre au moment de la frappe. Le triple cordage du médium et de l’aigu est généralisé par Broadwood, à Londres, dès 1817. L’emploi de l’acier filé au diamant se généralise dès 1834, et sa qualité n’a cessé de s’améliorer jusqu’à aujourd’hui.
Au milieu du XIXes, les pianos GAVEAU connaissent une ascension rapide, produisant des pianos droits de qualité, qui s’inspiraient de la construction des instruments Érard.
le facteur J.G. Gaveau fait progresser leur mécanique, notamment concernant l’angle de l’échappement. Il crée la « mécanique Gaveau » : ses pianos bénéficient alors d’une réputation de qualité. On doit aussi à ses pianos et à la famille Gaveau, la construction à Paris d’une salle de concert de renom, la salle Gaveau.
Entre 1824 et 1825, les facteurs renforçaient davantage les composants métalliques utilisés dans la fabrication des pianos. Alpheus Babcock, un facteur américain, a apporté une innovation importante en 1828. Il a opté pour l’utilisation d’un cadre unique, connu sous le nom d’armature, placé au-dessus de la table d’harmonie, pour soutenir la tension croissante des cordes. Cette tension accrue résultait à la fois du nombre et du poids des cordes.
En parallèle, Babcock a également décidé de croiser les cordes du piano (les cordes basses passant au-dessus des cordes blanches et portant sur un chevalet séparé). Cette disposition présentait plusieurs avantages, notamment une distribution plus équilibrée des tensions à travers l’instrument. De plus, cette configuration a permis d’obtenir des cordes plus longues tout en occupant moins d’espace. Ce changement a eu pour effet d’améliorer la capacité de vibration du son émis par le piano, entraînant ainsi une augmentation significative de sa puissance sonore. En résumé, ces ajustements ont marqué la naissance de la configuration moderne des cordes de piano telle que nous la connaissons aujourd’hui. Il montre également un intérêt pour l’enveloppe des marteaux.
Jonas Chickering assimile les avancées de son prédécesseur. En 1843, il dépose un brevet pour un cadre en une seule pièce (sans croisement des cordes) destiné aux pianos de concert.
Heinrich Engelhard Steinweg, anglicisé en Henry E. Steinway (1797-1871), de Wolfshagen, (Allemagne) émigre à New York en 1850. La pédale tonale est présentée en 1844 à l’Exposition de Paris par Louis-Constantin Boisselo. Le piano de concert moderne atteint quasiment sa forme actuelle dès le dernier quart du XIXe siècle. Sa forme vient donc d’une idée d’origine italienne, reprise, améliorée, et propagée par les Français et les Allemands, puis développée et industrialisée par les Britanniques, ce à quoi les Américains se sont ensuite joints. Finalement, un apport allemand a scellé cette évolution il y a environ 150 ans, donnant naissance à une synthèse qui demeure aujourd’hui encore un standard en vigueur.
Le piano dans le monde : une forte concurrence:
Le XVIIIe siècle a marqué l’ère de la fabrication artisanale des pianos en atelier, une pratique qui s’est répandue dans de nombreux endroits. Certains de ces ateliers ont même survécu à la transition vers l’ère industrielle, notamment en France.
Dans d’autres pays industrialisés, le XXe siècle a été témoin d’une croissance impressionnante de l’industrie du piano, comme au Japon avec Yamaha depuis 1900. Si ces pianos sont appréciés par certains, d’autres pianistes et mélomanes estiment que leur sonorité est trop standardisée et dépourvue de personnalité.
ll est important de souligner que le son distinctif du piano français, connu pour sa sonorité « à la française » ou « romantique », demeure toujours recherché et admiré par certains pianistes de renommée.
Yamaha demeure engagé dans une recherche constante en acoustique pour améliorer ses instruments. Cette expertise s’est d’abord propagée au Japon avec la fondation de Koichi Kawai, un ancien de Yamaha, en 1927. Par la suite, elle s’est étendue en Corée avec la création des pianos Young Chang et de Samick.
L’essor rapide de la production de pianos en Asie a eu un impact néfaste sur les fabricants de pianos historiques en France à partir de la seconde moitié du XXe siècle.
Le marché des pianos neufs en France connaît une baisse drastique.
L’augmentation des acquisitions de pianos numériques en substitution des pianos acoustiques, en raison de leur encombrement moindre et de leur prix plus abordable, a également contribué à renforcer cette baisse significative depuis les années 2000.
En Russie, la fabrication de pianos a connu une période de croissance significative, surtout au XIXe siècle. Bien qu’il y ait eu quelques usines en URSS, celle qui a réussi à survivre malgré les défis se situe en Estonie et porte le nom d’Estonia.
Le piano moderne :
Le clavier d’un piano moderne a généralement 88 touches. Il y a 52 touches blanches pour les notes de la gamme diatonique de do majeur et 36 touches noires pour compléter la gamme chromatique. En règle générale, le clavier couvre 7 octaves et un quart.
Les touches du piano sont souvent en épicéa ou en tilleul, des bois légers. Les touches blanches mesurent normalement 13,8 cm sur 2,3 cm avec un espace de 1 mm entre elles, tandis que les touches noires font généralement 7,8 cm sur 0,9 cm. À l’époque, les touches noires étaient recouvertes d’ébène et les touches blanches étaient en ivoire. Cependant, en raison de la protection des éléphants, on a dû remplacer ces matériaux par des synthétiques. Certains pianistes optent même pour des plastiques imitant l’ivoire pour une meilleure durabilité.
Le clavier n’a pas beaucoup changé entre l’invention du piano par Cristofori et la fin du XVIIIe siècle, passant de 54 à 60 touches. Au XIXe siècle, il est passé de 60 à 88 touches, le standard actuel. Certains pianos ont dépassé ces 88 touches, atteignant jusqu’à 102 touches. Par exemple, Bösendorfer propose 97 touches depuis 1909 avec son modèle « Impérial, » et Stuart & Sons propose des pianos avec 102 touches. Actuellement, Bösendorfer noircit les touches blanches pour ne pas perturber les pianistes habitués au clavier de 88 touches, tandis que Stuart & Sons n’apporte pas de modifications spéciales, comme cela se faisait au XIXe siècle.
Peu d’œuvres explorent pleinement les possibilités offertes par les claviers de piano étendus. L’exemple le plus célèbre est probablement celui de « Une barque sur l’Océan, » la troisième pièce des « Miroirs » composée par Ravel en 1905.
Des indications similaires d’exploration de cette étendue exceptionnelle se retrouvent ailleurs, par exemple dans les compositions de Ravel « Jeux d’eau » et « Scarbo ».
On en trouve chez Mozart (Concerto no 17 KV 453 III, m. 56) ou un peu partout chez Beethoven (notamment dans la Hammerklavier, m. 115) et plus rarement chez Chopin (1re étude op. 10 m. 25-26 et Fantaisie op. 49 m. 24, 32, 112 et 116).
Certains compositeurs ont exploré les fréquences extrêmement basses du clavier: par exemple : Scriabine , à la fin de sa sixième sonate ‘1912 ; ou Bartók, dans son deuxième concerto (1931).
L’Union soviétique n’a pas semblé accorder la même priorité à cette exploration que les Américains. Comme par exemple, Chostakovitch, dans son concerto op. 102.
Il existe des pianos contemporains rares qui ont moins de 88 touches, tandis que de nombreux pianos anciens en ont seulement 85. La gamme de notes qu’un compositeur utilise dans une composition dépend des ressources disponibles à son époque. Certains compositeurs ont plaidé en faveur de l’expansion de l’étendue du piano, et Beethoven est un exemple marquant, car il a eu la chance de voir son instrument étendu d’une octave et demie de son vivant. Pour qu’une œuvre puisse être jouée et partagée avec un large public, elle doit être réalisable sur les pianos disponibles pour les musiciens du futur.
Le mécanisme[modifier | modifier le code]
Le mécanisme essentiel dans le fonctionnement d’un piano est le mécanisme d’échappement. Si la touche et le marteau étaient directement liés, le marteau resterait coincé sur la corde, entraînant une suppression du son lors de sa propulsion vers celle-ci. Afin d’éviter cette atténuation sonore, le marteau est propulsé par le biais d’une pièce en forme d’équerre appelée le « bâton d’échappement ». Ce dernier bascule vers l’arrière lorsque sa partie horizontale atteint un dispositif réglable appelé le « bouton d’échappement ». Ainsi, le marteau est libre de revenir en arrière dès qu’il a frappé la corde, permettant à celle-ci de vibrer sans être étouffée par le marteau.
Le mécanisme d’échappement est crucial dans le fonctionnement du piano. Sans lui, le marteau resterait bloqué sur la corde après avoir été propulsé par la touche, étouffant ainsi le son. Pour remédier à cela, le marteau est propulsé via un dispositif en forme d’équerre appelé le « bâton d’échappement », qui bascule lorsque sa partie horizontale atteint une butée réglable, libérant ainsi le marteau pour qu’il puisse reculer après avoir frappé la corde.
Pour empêcher le marteau de revenir sans contrôle dans le mécanisme, il est retenu par un composant appelé l' »attrape », qui est fixé :
- Aux pianos droits, au chevalet, une composante fondamentale du mécanisme distinct du chevalet de la table d’harmonie qui soutient les cordes.
- Aux pianos à queue, à la touche.
En même temps, l’enfoncement de la touche active l’étouffoir, permettant à la corde de vibrer librement jusqu’à ce que la touche soit relâchée.
Bien que ce système soit présent dans tous les pianos depuis leur origine, il présente un inconvénient majeur : tant que la touche n’est pas entièrement relevée, la note ne peut être rejouée, ce qui limite la rapidité de jeu.
Pour résoudre ce problème, Sébastien Érard a développé le système de mécanique de répétition, une innovation plus précise que le terme « double échappement » car il n’y a en réalité qu’un seul mécanisme d’échappement dans les pianos. Ce système ajoute un levier supplémentaire et un ressort pour rétablir rapidement le mécanisme vers le bas et le marteau vers le haut. Ainsi, lorsque le marteau échappe à l’attrape par relâchement de la touche, il est immédiatement replacé au-dessus du bâton d’échappement, permettant de rejouer la note sans devoir relâcher complètement la touche.
Le pédalier d’un piano, souvent désigné comme « lyre » sur un piano à queue, est généralement équipé de deux ou trois pédales, parfois quatre, bien que cette dernière soit rare.
La pédale située à droite, appelée pédale forte, permet de prolonger le son et d’augmenter la résonance en relevant tous les étouffoirs, laissant ainsi les cordes vibrer librement.
À gauche, la pédale douce (ou una corda) déplace le clavier et les marteaux d’une manière qui permet à seulement deux des trois cordes attribuées à chaque note d’être frappées, ou sur certains dispositifs, que les trois cordes soient frappées avec la partie moins tassée des marteaux. Sur un piano droit, cette pédale rapproche les marteaux des cordes, réduisant ainsi la vitesse de frappe et allégeant le toucher. Dans les deux cas, le volume sonore est diminué et sur un piano à queue, le timbre de l’instrument subit des changements car le mode vibratoire des cordes diffère selon que deux ou trois d’entre elles sont frappées. Certains pianos, tels que les Stuart & Sons, possèdent quatre pédales au lieu de trois, avec les deux mécanismes de la pédale douce distincts.
Sur certains pianos, la pédale du milieu est une pédale de soutien, également appelée sostenuto ou tonale, permettant de maintenir enfoncées une ou plusieurs notes déjà jouées et en train de résonner lorsque la pédale est enfoncée. Cette pédale maintient les étouffoirs levés lorsqu’on relâche la touche. Elle est plus courante sur les pianos de concert que sur les pianos d’étude et est utilisée de manière limitée dans le répertoire pianistique.
Sur certains pianos droits, la pédale du milieu est une sourdine, également appelée pédale d’appartement ou pédale moliphone, servant à réduire le volume sonore en interposant un feutre entre les marteaux et les cordes lorsqu’elle est enclenchée. Elle n’a aucun effet sur l’interprétation mais vise uniquement à atténuer le son pour ne pas déranger l’entourage du pianiste.
Sur d’autres pianos droits, principalement américains, la pédale du milieu est une pédale forte qui ne fonctionne que pour les notes graves.
(Source : Wikipedia)
Les bienfaits de la Musique
Les bienfaits de la musique sont nombreux et diversifiés, offrant une palette variée d’avantages. En tant que langage universel, la musique joue un rôle fondamental dans le bien-être humain. Elle facilite les connexions au-delà des mots et transcende les générations, engendrant ainsi une multitude d’effets positifs.
La musique procure des expériences sensorielles et corporelles gratifiantes, renforçant les liens sociaux grâce à la possibilité de partager le plaisir musical avec nos proches. Elle marque les moments essentiels de notre vie émotionnelle et contribue à façonner notre identité.
La musique représente une évasion temporaire vers le bonheur quotidien, favorisant l’optimisme. Elle a également des propriétés apaisantes sur l’anxiété, améliorant la concentration, la mémoire et le langage.
Lorsque nous écoutons de la musique au moment approprié, notre cerveau libère de la dopamine, créant ainsi une sensation de bien-être tant sur le plan physique que mental. La musique exerce une influence positive sur notre comportement et nos émotions, contribuant à atténuer les tensions sociales.
Enfin, la musique peut également jouer un rôle thérapeutique, procurant apaisement, stimulation et sollicitation tant pour le corps que pour la mémoire, ce qui constitue l’essence même de la musicothérapie.
La musicothérapie offre de nombreux avantages pour le bien-être physique et mental. Cette approche permet aux individus d’exprimer leurs émotions à travers la musique, que ce soit en participant activement en improvisant des chansons ou en jouant d’un instrument, ou en adoptant une approche plus réceptive axée sur l’écoute musicale. Elle constitue une alternative douce aux médicaments anxiolytiques et neuroleptiques, parfois même capable de réduire leur utilisation. De plus, la musicothérapie peut être adaptée en fonction des préférences musicales du patient et de son niveau d’audition.
Même en l’absence de compétences musicales préalables, la musicothérapie offre de multiples bienfaits à ceux qui se trouvent dans des situations de solitude, de maladie ou de dépression :
- Elle améliore l’humeur, notamment lors de longues hospitalisations, en aidant les patients à mieux vivre leur séjour et à renforcer leurs relations avec leur famille et le personnel soignant.
- Elle contribue à la gestion de la douleur en stimulant la production d’endorphines grâce à une musique apaisante, ce qui réduit la douleur et l’anxiété. Elle est utilisée dans les soins palliatifs, avant ou après une opération, ainsi que dans le traitement des douleurs chroniques.
- Elle favorise la stimulation de l’activité cérébrale en libérant de la dopamine lors de la pratique musicale, ce qui stimule la créativité et entretient la mémoire, surtout chez les personnes jouant d’un instrument.
- Elle améliore la perception de l’effort physique, modifiant ainsi la sensation de fatigue grâce aux endorphines analgésiques qui procurent de l’énergie.
- Elle réduit le stress en renforçant la résilience et en abaissant les niveaux de cortisol, l’hormone du stress.
- Elle encourage un sommeil de qualité en favorisant l’endormissement grâce à une musique apaisante, tout en influençant positivement les muscles, la tension, la respiration et le rythme cardiaque.
Entretien et Conservation des pianos.
Musée de la Musique à Paris
Le PIANO : un instrument roi
Le Piano : un instrument très complet :
Le PIANO est un instrument très complet : mélodique, harmonique, polyphonique.
Il est souvent conseillé aux enfants de commencer la musique par le PIANO.
L’enfant peut ensuite choisir de continuer le piano, ou de choisir un autre instrument.
Les conservatoires regorgent de demandes d’inscriptions pour les classes de PIANO, et incitent ou obligent votre enfant à orienter son choix vers un autre instrument : tenez bon! refusez si le PIANO vous tient à coeur, quitte à inscrire votre enfant en classe de formation musicale (solfège) pendant un an, puis à renouveler la demande d’inscription en classe de piano l’année suivante: votre enfant n’en aura que des bénéfices; le solfège « rébarbatif » d’autrefois a disparu ; les professeurs sont conscients de la demande et des capacités du jeune public actuel, tout en tenant compte des exigences posées par la musique et par l’étude de l’instrument. Les enfants doivent apprendre à lire la musique, et comprendre le rythme : c’est un fait. Mais les enfants sont ravis de se retrouver en groupe avec des amis de leur age et de partager avec eux des activités : la formation musicale est aussi un acte social, en plus d’être un partage musical. Le solfège est actuellement plus « musicalisé » qu’autrefois, ne serait-ce que par le fait que les morceaux de lecture et de chant étudiés en cours portent désormais sur des oeuvres du patrimoine, et non sur des exercices de solfège pur. Il y a moins d’exigence qu’autrefois sur la théorie musicale rigide, et sur les dictés musicales.
Beaucoup d’élèves de conservatoires ou d’écoles de musique, ou d’écoles associatives de musique peinent à passer les examens annuels ; dans ce cas, il ne faut pas hésiter à engager un répétiteur en dehors, et en plus des cours ; celui ci aidera l’élève à comprendre ce qu’on attend de lui au conservatoire, et lui apprendra à travailler le piano et le solfège avec efficacité ; choisissez un professeur qui connait les différents styles de musiques, et notamment la musique classique, qui est une base importante.
Une formation originale : le quatuor de saxophone
DIMANCHE 7 SEPTEMBRE – 16H
M. Ravel,Quatuor en fa majeur
M.Tajcevic, Sept danses balkaniques
K. Beffa,Fireworks (extraits)
T. Escaich,Tango Virtuoso
P. Geiss, Patchwork
Quatuor Morphing, quatuor de saxophones
Une formation originale : le quatuor de saxophone, surtout sur du répertoire de musique classique ou populaire interprété par des musiciens classiques. Connaissant par coeur le quatuor de Ravel original conçu pour les cordes, j’appréhendais plutôt ce concert. Mais j’y eu le plaisir de retrouver cette si belle composition de Ravel que je savourais entourée par les grands arbres du Parc. Les oeuvres suivantes populaires écrites et interprétées par des musiciens plutôt classiques étaient mélodieuses. On remarque encore l’orientation éclectique de la programmation, même sur cette 2e partie, « classique au vert » du mois d’août-septembre, qui s’enchaîne à la 1e partie tournée vers « le jazz et les musiques du monde ».
Le concert était complet comme toujours et le public enchanté. Cela le consolait sans doute des pluies intempestives du mois d’août 2014 parisien …
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Voici le morceau « Patchwork » de P. Giess : qui démarre sur un ostinato, que le quartette a interprété au Parc Floral :
L’église Sainte-Croix des Arméniens
[:fr]Détrompez-vous! Même sans gros revenus, vous pouvez vous amuser et écouter de la belle musique dans Paris! (surtout pendant l’été) : j’ai donc assisté à deux concerts de piano à l’église Sainte-Croix des Arméniens (Paris 3e), issus d’une série de concerts proposés :
Récital de piano pendant lequel j’ai pu entendre « Gaspard de la nuit » de Ravel, une oeuvre qui m’est très chère, que j’avais découverte par un des spécialistes de Ravel, Vlado Perlemuter, que j’aime tant, et dont voici un enregistrement (n’oubliez pas d’écouter le « Gibet » à 7:22 ) :
Récital de piano par Karolina Glab, au programme : œuvres de J.-S. Bach, Beethoven et Chopin.
Des artistes intéressants proposant un répertoire varié très travaillé.
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Petit concert de jazz, improvisé sur les bords de Seine le 15 août
Il existe diverses manières de profiter de Paris gratuitement. Petit concerts gratuits ou avec juste une boisson à régler. On fini par flâner sur les bords de Seine au coucher du soleil : le tout sans dépenser ou peu, si on le souhaite…. Mon 15 août a été riche d’improvisation musicale et touristique :
Cambridge Voices, dir. Ian de Massini, et David Noël-Hudson (orgue),
Au programme : œuvres de Victoria, Rachmaninov, Ravel…
le Vendredi 15 Août: entrée libre à l’Église Saint-Louis-d’Antin – Paris 9e :
Pourquoi s’en priver? Concert unique! : les choristes anglais de hauts niveaux (pourtant amateurs), exploitaient les qualité sonores de l’architecture de l’église: placés tantôt en face des auditeurs, près de l’autel, en cercle autour du public (répartis sur toute la longueur de l’église pour utiliser son dôme comme cavité sonore), les solistes situés aux deux bouts de l’église : encerclant ainsi l’auditeur de polyphonie totale, elle-même mise en valeur par l’écho naturel de l’architecture. Une prestation magnifique à ne pas rater dans cette église, chaque année au 15 août à 16h à l’église Saint-Louis d’Antin (Paris 9e), et à 11h à l’église Saint Etienne Dumont (Paris 5e).
"Classique au vert" : le Festival au Parc Floral de Vincennes" ( Juillet & Août)
[:fr]Romain Leleu, trompette – Ensemble Convergences, quintette à cordes interprètent :
– B. Bartók, Danses populaires roumaines – F. Mulsant, « Sextuor pour trompette et cordes » : B. Britten, Extraits de la Simple Symphony pour cordes – G. Bizet, Fantaisie sur Carmen G. Bizet, Adagietto – extrait de l’Arlésienne – A. C. Jobim, Chega de Saudade
A. Piazzolla, Trois tangos
Romain Leleu, un trompettiste à la sonorité chaleureuse, un grande technique, interprétant aussi un répertoire hétéroclite, ce qui semble être le choix des programmateurs de « Classique au vert » de 2014. Partageant avec « l’ensemble Convergences » une complicité, une complémentarité, sur un répertoire varié. Personnellement, j’ai adoré l’arrangement des pièces originales pour piano de B. Bartok « Danses populaires roumaines ». Mais je suis une inconditionnelle de B. Britten, ce magicien de la composition. Un très beau concert par un temps stable, bien mérité après la pluie incessante du mois d’août 2014… un parc magnifique entretenu par des grands professionnels…
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Ecoutez-donc un extrait pour découvrir cet ensemble et aller le voir dès qu’il se représente:
Au PARC FLORAL de VINCENNES SAISON 2018 :
- PARIS JAZZ FESTIVAL :
http://fr.parisjazzfestival.fr/2/paris-jazz-festival/
Programmation 2018 :
http://fr.parisjazzfestival.fr/8/programmation-2018/
- Le CLASSIQUE au VERT :
le festival a vu ses aides de la VILLE de PARIS diminuer de moitié, en conséquences de quoi : le festival « Classique au vert » ne dure plus qu’un mois, et le « Paris jazz festival » ne dure aussi qu’un mois; le tout durant 2 mois au lieu de 4 mois par an.
Le programme est réduit, mais je conseille à tous de s’y rendre à cette adresse :
https://classiqueauvert.paris.fr/
programmation : https://classiqueauvert.paris.fr/category/programmation-2018/
Cette année 2018 j’ai assisté au concert du Classique au Vert du Quatuor Debussy se produisant avec Jacky Terrasson ; l’ensemble était assez remarquable : chacun s’écoutant, se complétant, sur des arrangements créés sur des compositions de Claude Debussy.
Voici le programme de ce concert :
Samedi 25 août 2018 à 16h
Debussy on Jazz !
Quatuor Debussy
– Christophe Collette et Marc Vieillefon, violons
– Vincent Deprecq, alto
– Cédric Conchon, violoncelle
Jacky Terrasson, piano
Franck Tortiller, percussions
1ère partie : Le Quatuor Debussy avec Franck Tortiller
Claude Debussy
La fille aux cheveux de lin/Minstrels/ Les sixtierces
Vernon Duke
I can’t get started with you
Franck Tortiller
Danza del vino (d’après La puerta del vino de C. Debussy)
Midi, do majeur (d’après Les tièrces alternées de C. Debussy)
Georges Gershwin
Bess, you is my woman now…
Tony Murena
Impasse des vertus
2ème partie : Le Quatuor Debussy avec Jacky Terrasson
Jacky Terrasson
Improvisations
Claude Debussy
Hommage à S. Pickwick Esq. P.P.M.P.C., Bruyères
Jacky Terrasson & Lionel Belmondo
Bussi’s Blues (d’après C. Debussy)
Pièce pour piano et quatuor
Lionel Belmondo
La plus que lente (d’après C. Debussy)
Dimanche 26 août 2018 – 16h
Cap à l’Est !
Ensemble 2E2M
Pierre Roulier, direction
Véronique Briel, piano
Didier Sandre, de la Comédie-Française, récitant
Leos Janáček, Sonatine pour piano
Igor Stravinsky, L’Histoire du Soldat
Le dernier week end sera très interessant :
Samedi 1er septembre 2018 à 16h :
ORCHESTRE DE CHAMBRE de PARIS :
Eivind Gullberg Jensen, direction
Hanna Hipp, mezzo-soprano
Maurice Ravel
Pavane pour une infante défunte
Jean Sibelius
Pelléas et Mélisande
Hector Berlioz
Nuits d’été
Dimanche 2 septembre 2018 à 16h
Vers un monde nouveau…
Classique au Vert Orchestra
Pierre Mosnier, direction
Arnold Schoenberg
La Nuit Transfigurée,
version pour ensemble à cordes
Aaron Copland
Appalachian Spring,
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« PARIS JAZZ FESTIVAL » : festival de Jazz de Paris, du Parc Floral de Vincennes, a fêté cette année ses 20 ans
Muni d’un système de sonorisation nouveau, la restitution et projection du son permet à l’auditeur, où qu’il soit placé, de profiter pleinement du concert. En journée, ce dernier est frappé par la beauté de ce parc; en soirée, il entend le vent dans les arbres illuminés par un éclairage discret. Tout autour des plantations et fleurs magnifiques. Non loin de la scène, un lac de Nénuphars nous rappelle les peintures de Claude Monet.
Parc Floral Visite :
Le PARIS JAZZ FESTIVAL :
Bien qu’on regrette la qualité de la programmation qui était proposé par les anciens producteurs, on apprécie de pouvoir assister à des concerts pour 5,50 euros dans ce cadre idéal pour ceux qui ne partent pas à la campagne. En effet, la nouvelle programmation locale hétéroclite ne permet cependant pas comme avant de profiter d’un jazz comme certain aiment, mais plutôt de musiques diverses interprétée par les musiciens de valeur, cependant moins internationaux. Or si le jazz est local, il est aussi américain et mondial. Ceci s’explique sans doute pas une limitation du budget. Mais j’ai envie de penser à ceux qui n’ont pas les moyens de partir dans les grands festivals d’été divers pour entendre ce qu’on n’entend ps tout au long de l’année dans sa propre ville.
Un concours de circonstances ne m’ayant permis que d’assister au dernier concert, j’ai pu redécouvrir le QUARTETTE de JOSHUA REDMAN le dernier jour du festival de jazz. J’ai été convaincue par la façon efficace et musicale dont ces musiciens restituaient une musique qui n’étaient pas révolutionnaire en terme de modernité, mais incroyable de technique, de musicalité, de mise en place: interprétation d’une tradition teintée d’harmonisations plus actuelles. La synchronisation de la section rythmique était implacable : pas une erreur en terme de mise en place, de pulsation, de swing. L’interprétation de Joshua Redman à souligné la maîtrise de ce saxophoniste sur le plan technique et rythmique, au niveau de l’articulation, du phrasé, et de la musicalité. La cohésion de l’ensemble a impressionné le public qui applaudissait à tout rompre, qu’il soit connaisseur ou non. Les mises en place de « 4/4 » ou « solos » du batteur Gregory Hutcherson étaient parfaitement conçues, encadrées par le tempo implacable du contrebassiste à l’oreille fine, Reuben Rogers, et par les relances du pianiste articulé, Aaron Goldberg. Personnellement j’aime entendre en direct ce que je ne peux entendre que sur CD, habitant loin du lieu ou se crée ce type particulier de jazz , et à ce niveau.
Ecoutez donc cette belle prestation :
PARIS JAZZ FESTIVAL 2024 :
Le Paris Jazz Festival fait son grand retour au Parc Floral du 26 juin au 8 septembre 2024, offrant une nouvelle fois l’occasion de découvrir de nombreux talents musicaux dans un cadre enchanteur. Découvrez le programme des concerts gratuits ! Cet été, le Paris Jazz Festival s’installe à Vincennes pour nous enchanter avec ses concerts gratuits en plein air, à savourer durant la journée dans le magnifique Parc Floral de Paris. Au cours de 9 concerts, le festival vous promet un voyage musical exceptionnel, mettant cette année à l’honneur des artistes français. Parmi les performances à ne pas manquer, retrouvez le trompettiste Antoine Berjeaut, la pianiste Macha Gharibian, Révélation des Victoires du Jazz 2020, le quartet de jazz-funk Aldorande, l’artiste Charlotte Planchou en formation quartet, ainsi que l’accordéoniste Vincent Peirani et le quintette Petite Lucette. Rappelons que tous les concerts en journée sont gratuits et accessibles sans réservation, seule l’entrée au Parc Floral est payante.
Le Paris Jazz Festival (PJF) est un événement de jazz qui a vu le jour en 1994 et se déroule chaque année au Parc Floral de Paris. Il fait partie de la programmation des Festivals du Parc Floral, aux côtés de Classique au Vert et Pestacles. Bien que principalement dédié au jazz, le festival s’ouvre également à d’autres genres de musique afro-américaine tels que le blues, la soul et le rhythm and blues, ainsi qu’aux musiques du monde.
Au fil des deux dernières décennies, le Paris Jazz Festival a su attirer un large public, devenant l’un des événements estivaux les plus prisés en France, avec plus de 110 000 spectateurs chaque saison.
**Histoire**
Lancé au printemps 1994 par Franck Marchal et Olivier Bastardie, le festival avait pour ambition de créer un événement en plein air, au cœur de ce que l’on pourrait considérer comme le « Central Park » parisien. Initialement nommé « À Fleur de Jazz » en raison de son cadre botanique, il a rapidement conquis un public varié, allant des passionnés de jazz aux amoureux de la nature. Dès ses débuts, le festival a accueilli des artistes renommés tels que Didier Lockwood, Trilok Gurtu, Brad Mehldau, et bien d’autres. En 1998, il est rebaptisé Paris Jazz Festival et prend son envol avec l’inauguration d’une scène dédiée, l’Espace Delta, en 1999, capable d’accueillir jusqu’à 1 500 spectateurs assis ou 5 000 debout.
Depuis 2003, plusieurs équipes se sont succédé à la direction du festival :
– 2003 à 2005 : François Peyratout et Reno Di Matteo (Nemo Productions)
– 2006 à 2008 : Jean-Noël Ginibre (Loop Productions) et Enzo Sayrin (Enzo Productions)
– 2009 à 2014 : Pierrette Devineau et Sebastian Danchin (CC Production)
– 2015 à 2018 : Pierrette Devineau, Sebastian Danchin et Franck Marchal (CC Production & Comptoir du Son)
– Depuis 2019 : Émilie Houdebine (Traffix Music)
En 2019, Traffix Music a pris la direction de l’ensemble des Festivals du Parc Floral, qui comprend également Classique au Vert et Pestacles. Émilie Houdebine assure la direction des festivals, tandis que Danièle Gambino s’occupe de la direction artistique. Cette nouvelle équipe vise à décloisonner les styles musicaux et à promouvoir à la fois les artistes établis et les talents émergents.
**Politique culturelle**
La politique éditoriale du Paris Jazz Festival a évolué au fil des ans. Après avoir longtemps accueilli des artistes en tournée estivale, elle s’est recentrée entre 2009 et 2018 sur la promotion du jazz français. Le festival a été choisi par les Victoires du Jazz en 2012 et 2014 pour réaliser et enregistrer leur cérémonie annuelle. En 2013, il a innové en intégrant la Wave Field Synthesis, une technique de diffusion sonore multipoint.
Le Paris Jazz Festival se déroule dans le cadre des Festivals du Parc Floral de Paris, qui inclut également le festival pour enfants Pestacles et le festival de musique classique Classique au Vert. Les concerts ont lieu les samedis et dimanches de juin, juillet et août, et sont gratuits pour tous les visiteurs ayant payé l’entrée au Parc Floral. Depuis 2011, des concerts nocturnes viennent compléter ceux de l’après-midi. Entre 2012 et 2015, une seconde scène, la Barge à Jazz, a également proposé des concerts. Depuis 2012, le festival inclut des créations artistiques inédites, comme une partition originale de Patrice Caratini jouée en 2013 pour le film muet « Body and Soul » (1925) d’Oscar Micheaux.
Depuis 2019, la programmation est conçue dans le cadre des Festivals du Parc Floral, reliant les différentes esthétiques musicales. Chaque édition met en avant un artiste qui fait le lien entre ces styles : Laura Perrudin en 2019, Ray Lema en 2020, Paul Lay en 2021, et Marion Rampal en 2022.
PROGRAMMATION ANNEES 2020 :
Années 2020
2020
- NEC+ (Étienne MBappé, Nicolas Viccaro, Christophe Cravero), Obradovic – Tixier Duo (David Tixier et Lada Obradovic), Laurent Bardainne, Céline Bonacina, Sophie Alour, Ray Lema
2021
- Naïssam Jalal & Rhythms of Resistance, Rita Payes & Elisabeth Roma, Louise Jallu, Le Cri du Caire & Médéric Collignon, Tigran Hamasyan, Rouge, Emile Parisien Quartet, Paul Lay trio, Leyla McCalla, Koki Nakano, Création Constellations, Parking, Ignacio Maria Gomez Trio, Noir Lac & L’Ensemble Sequenza 9.3, Benjamin Sanz directions, Moses Boyd (en), Faraj Suleiman trio, Hypnotic Brass Ensemble.
2022
- Ana Carla Maza, Yissy García y Bandancha, Thomas de Pourquery & Supersonic, Noé Clerc Trio, Ambrose Akinmusire, Shai Maestro quartet, Glowing Life (Sylvaine Hélary), Sons of Kemet, Marion Rampal, Cécile McLorin Salvant, Chelsea Carmichael (de), Rhoda Scott & Ladies All Star, Sélène Saint-Aimé septet, Brad Mehldau & Ian Bostridge, Yom (clarinettiste) & Léo Jassef, Agogo, Neue Graphik Ensemble, Nout, Florian Pelissier Quintet, Coccolite, SEED Ensemble (en), Muriel Grossmann quartet, Anthony Joseph (en) septet.
2023
- Alabaster DePlume, Alina Bzhezhinskan feat Toni Kofi, Allysha Joy, Camilla George Quintet, Daïda, Red desert Orchestra (Eve Risser, Haléïs, Louis Matute Large Ensemble, Mieko Miyazaki & Franck Wolf, Roni Kaspi, Takuya Koruda5.
"PARIS JAZZ FESTIVAL" : festival de Jazz de Paris, du Parc Floral de Vincennes, a fêté cette année ses 20 ans
[:fr]Muni d’un système de sonorisation nouveau, la restitution et projection du son permet à l’auditeur, où qu’il soit placé, de profiter pleinement du concert. En journée, ce dernier est frappé par la beauté de ce parc; en soirée, il entend le vent dans les arbres illuminés par un éclairage discret. Tout autour des plantations et fleurs magnifiques. Non loin de la scène, un lac de Nénuphars nous rappelle les peintures de Claude Monet.
Parc Floral Visite :
Le PARIS JAZZ FESTIVAL :
Bien qu’on regrette la qualité de la programmation qui était proposé par les anciens producteurs, on apprécie de pouvoir assister à des concerts pour 5,50 euros dans ce cadre idéal pour ceux qui ne partent pas à la campagne. En effet, la nouvelle programmation locale hétéroclite ne permet cependant pas comme avant de profiter d’un jazz comme certain aiment, mais plutôt de musiques diverses interprétée par les musiciens de valeur, cependant moins internationaux. Or si le jazz est local, il est aussi américain et mondial. Ceci s’explique sans doute pas une limitation du budget. Mais j’ai envie de penser à ceux qui n’ont pas les moyens de partir dans les grands festivals d’été divers pour entendre ce qu’on n’entend ps tout au long de l’année dans sa propre ville.
Un concours de circonstances ne m’ayant permis que d’assister au dernier concert, j’ai pu redécouvrir le QUARTETTE de JOSHUA REDMAN le dernier jour du festival de jazz. J’ai été convaincue par la façon efficace et musicale dont ces musiciens restituaient une musique qui n’étaient pas révolutionnaire en terme de modernité, mais incroyable de technique, de musicalité, de mise en place: interprétation d’une tradition teintée d’harmonisations plus actuelles. La synchronisation de la section rythmique était implacable : pas une erreur en terme de mise en place, de pulsation, de swing. L’interprétation de Joshua Redman à souligné la maîtrise de ce saxophoniste sur le plan technique et rythmique, au niveau de l’articulation, du phrasé, et de la musicalité. La cohésion de l’ensemble a impressionné le public qui applaudissait à tout rompre, qu’il soit connaisseur ou non. Les mises en place de « 4/4 » ou « solos » du batteur Gregory Hutcherson étaient parfaitement conçues, encadrées par le tempo implacable du contrebassiste à l’oreille fine, Reuben Rogers, et par les relances du pianiste articulé, Aaron Goldberg. Personnellement j’aime entendre en direct ce que je ne peux entendre que sur CD, habitant loin du lieu ou se crée ce type particulier de jazz , et à ce niveau.
Ecoutez donc cette belle prestation :
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Concert de Paris au Champs de Mars ce 14 juillet 2014
Hier soir, très beau concert au Champs de Mars pour le 14 juillet, dédié au célèbre chef d’orchestre décédé il y a quelques jours. Lorin Mazel (1930-2014).
Le concert adopte pour thème « Guerre et Paix » au travers d’oeuvres interprétées par l’Orchestre national de France, le Choeur et la Maîtrise de Radio France, sous la direction de Daniele Gatti. Avec Natalie Dessay, Anna Netrebko, Olga Peretyatko, Elina Garanca, Piotr Beczala, Lawrence Brownlee, Laurent Naouri.
On comptait 400 000 spectateurs venus picniquer, écouter le concert, et voir le feux d’artifice ; un fête à laquelle j’ai moi-même assisté, exceptionnelle, d’autant plus que le temps était divin, la lune superbe, l’éclairage magnifique. Une très belle soirée: Merci à la Ville de Paris!
Des interprètes incroyables. Un orchestre de qualité. Tout était si beau. Si les interprétations ont l’air faciles, ne vous y fiez pas! une vie de travail acharné pour musiciens.
La maîtrise de Radio France : met en scène de jeunes chanteurs semi-professionnels. J’encourage mes élèves à s’y inscrire et/ou comme d’ailleurs au conservatoire. Ils peuvent s’inscrire en « horaires aménagés » (CHAM) et suivre un cursus musique et un cursus scalaires adapté. Je peux les suivre comme coach en parallèle (ce que je fais avec succès avec plusieurs de mes élèves).
La programmation :
Hector BERLIOZ : La Damnation de Faust « Marche de Rákóczy » –
DONIZETTI : « Una furtiva lagrima » Lawrence Brownlee (à l’affiche du Festival d’Aix en-Provence dans Le Turc en Italie)
- John WILLIAMS : Star Wars, Thème principal
– Gaetano DONIZETTI : La fille du régiment, Salut à la France … – Pour mon âme avec Olga PERETYATKO, Lawrence BROWNLEE et le Choeur de Radio
– Georges BIZET : Carmen, avec la garde montante, avec la Maîtrise de Radio France –
Giuseppe VERDI : Aïda / Céleste Aïda, avec Piotr BECZALA
– Gottfried Heinrich STOLZEL : Bist du bei mir avec Natalie DESSAY et Laurent NAOURI
– Edward ELGAR : Pomp and circumstance, March n°1, avec le Choeur de Radio France
– DONIZETTI : « Ah mes amis! » avec Lawrence Brownlee
Léo DELIBES : Lakmé, Malika…, avec Olga PERETYATKO et Elina GARANCA
– Giacomo PUCCINI : Tosca « E lucevan le stelle », avec Piotr BECZALA
– Richard WAGNER : La Walkyrie « Walkürenritt »
Umberto GIORDANO : Andrea Chénier, « La mama morta » avec Anna NETREBKO
– Jacques OFFENBACH : La Grande duchesse de Gerolstein, Ah que j’aime les militaires, avec Elina GARANCA et le Choeur de Radio France –
Michel LEGRAND : Les Parapluies de Cherbourg, J’avais tellement peur de ne pas te trouver avec Natalie DESSAY et Laurent NAOURI
– Piotr Ilyitch TCHAÏKOVSKY : Ouverture 1812, Final –
BERLIOZ : La Marseillaise avec tous les chanteurs solistes, le Choeur et la Maîtrise de Radio France.
FEUX d’ARTIFICE à 23h : superbe, plein de couleurs, d’émotions, de rythmes,; accompagné de musique. Cela fait plaisir de voir que les gens réunis appréciaient. Ils ont passé toute la soirée au parc. Arrivant souvent très tôt pour picniquer, puis assister au concert qui réunissait de grands musiciens qu’il est impossible d’ordinaire de voir tant les taris de ce type de concerts sont élevés. Une très bonne sonorisation permettait à tous d’entendre parfaitement, et de grands écrans permettaient à ceux du fond du parc de profiter. La tour Eiffel colorée d’éclairages recherchés, apparaissait comme un rêve. Une réussite.
Fête de la musique – 21 juin 2014
Je me suis régalée! Profitons de ces moments artistiques, musicaux, pour mieux apprécier Paris (notamment pour ceux qui restent en ville pendant l’été); Paris est beau ; nombreuses manifestations sont gratuites et ouvertes à tous;
La fête de la musique était bien organisée; de nombreux groupes intéressants de tous styles; pour ma part, je recherche plutôt de la musique acoustique non amplifiée (ou très peu : en jazz par exemple seulement la contrebasse et la /le chanteuse /eur, mais pas plus.
A cet effet, il y avait des chorales de rues, des formations instrumentales acoustiques classiques ou jazz ou autres; du Gospel; je me promenais de rues en rues pour atterrir au Champs de Mars que j’aime tant : bien entretenu, sécurisé la nuit, du vent soufflant dans les grands arbres, me rappelant ainsi la campagne ; et surtout s’amuser, découvrir, rencontrer des gens, partager, rire.
Merci à la Ville de Paris
La pratique instrumentale
Le piano est un instrument polyvalent. Le pianiste peut le pratiquer en solo, s’accompagner lui-même en chantant, accompagner un chanteur, un instrumentiste, faire de la musique de chambre, ou trouver sa place en orchestre (notamment dans les concertos) et cela dans toutes les esthétiques musicales, genres, époques.
Le travail instrumental est solitaire, mais il stimule la concentration, et offre un refuge à celui qui le pratique, aidant le pianiste à savourer une tranquillité et un bien être dans la complicité qu’il établit avec l’instrument.
Nombreux sont ceux qui ont « du mal à s’y mettre », mais une fois la discipline et le rythme quotidien établit, la pratique est très régénérante. Elle entraîne la progression qui est valorisante pour l’enfant comme pour l’adulte. Ceci est valable pour tous publics, qu’ils soient professionnels ou amateurs, quel que soit leur age, niveau, ou le style ou genre de musique qui les intéresse.
J’encourage donc mes élèves à trouver un rythme, un créneau horaire réservé à la pratique instrumentale et musicale.
Le travail des jeunes enfants
Les jeunes enfants semblent parfois avoir les doigts mous, mais ceux-ci deviendront rapidement souples et fermes avec le travail des gammes et exercices. Une force musculaire s’en dégagera dans le temps. Il faut penser davantage en terme de potentiel chez un enfant qu’en terme de réussite immédiate.
Cependant, pour qu’un enfant réussisse dans l’apprentissage du piano, il faut stimuler sa motivation, et celle des parents afin qu’ils aident l’enfant à travailler l’instrument et la lecture chaque jour à la maison, entre ses leçons. C’est indispensable à la progression et à l’émulation.
Avec le travail du piano et de la lecture, l’enfant développe une oreille musicale, et s’éveille intellectuellement et artistiquement. Il prend confiance en lui, s’autonomise, gagne en concentration, et ses capacités intellectuelles augmentent. Cela l’aide donc indirectement aussi dans ses résultats scolaires. Le travail instrumental est très structurant, surtout s’il est régulier. Inutile de pratiquer longtemps irrégulièrement, car la pratique concentrée et répétée quotidiennement est la plus porteuse à tous points de vue.
Conditions générales, tarifs.
Pour toute précision :
voscoursdepiano@gmail.com
0638956296
CONDITION GENERALES, TARIFS :
* la motivation vient de la progression, qui implique un petit travail : *une pratique de 15 à 20 minutes/jour est donc recommandée.
Il est possible de s’inscrire à tout moment de l’année.
DEROULEMENT des COURS :
– Les cours durent 1h ; à votre domicile : Paris Sud (Paris 14, 15, sud du 16e) et banlieues Sud 92 (Malakoff, Bagneux, Vanves, Issy-les Moulineaux, Chatillon, Montrouge, Meudon, Clamart).
-Les cours particuliers à domicile sont éligibles au crédit d’impôt par le CESU (Ursaff).
TARIFS : 40€ cours à l’unité
FORFAITS :
A l’ ANNEE Scolaire : 34€/h (36 cours )
+ Frais de stationnement.
Défiscalisation : Payable par Le CESU Ursaff :
– 1 cours à 35€ revient à 31,27€ après défiscalisation
https://www.cesu.urssaf.fr/info/accueil/utiliser-le-cesu/le-service-cesu/le-cesu–quest-ce-que-cest.html
https://www.cesu.urssaf.fr/info/accueil/s-informer-sur-le-cesu/tout-savoir/c-est-quoi-pour-qui.html
N’hésitez pas à me joindre par e-mail, téléphone ou sms pour toute précision :
voscoursdepiano@gmail.com
0638956296