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Le Piano

Le Piano

Introduction au Piano :

Le piano, un instrument de musique polyphonique, est doté d’un clavier et appartient à la famille des cordes frappées. Il se décline en deux variantes :

  • Le piano droit, avec des cordes disposées verticalement.
  • Le piano à queue, où les cordes sont disposées horizontalement.
  • Il existe aussi des pianos numériques, qui ne possèdent pas de cordes mais intègrent des haut-parleurs pour produire le son.

 

Origines et Nom du Piano :

Son nom provient de « piano-forte », son prédécesseur du XVIIIe siècle. Il peut varier en intensité sonore grâce à la frappe des touches, passant progressivement de nuances douces (piano) à des nuances fortes (forte). Cette capacité d’expression dynamique est impossible avec d’autres instruments comme le clavecin, l’épinette ou l’orgue.

 

Structure du Piano :

Le piano est un instrument polyphonique à clavier, avec des cordes frappées par des marteaux. Les cordes sont tendues devant une table d’harmonie, où elles transmettent leurs vibrations via un chevalet. Des marteaux recouverts de feutre les frappent lorsque les touches du clavier sont enfoncées. Un étouffoir en feutre, plus doux, arrête la vibration lorsque la touche est relâchée. Le clavier standard compte 36 touches noires et 52 touches blanches, totalisant 88 touches.

 

Types de Pianos :

Les deux principaux types de pianos sont les pianos droits et les pianos à queue. Ils sont équipés de trois pédales. La pédale de gauche réduit le volume, celle du milieu étouffe ou maintient une note, tandis que celle de droite prolonge la résonance de toutes les notes jouées.

 

Développement et mutations du piano-forte :

On peut parler d’une période transitoire du piano entre la mort de Mozart (en 1791) et celle de Schubert (en 1828) ; 

Durant la longue période s’étendant de 1780 à 1890, le piano-forte de l’époque classique va subir de nombreux changements qui vont l’amener à sa forme actuelle de « piano moderne ». Cette évolution a été motivée par le besoin des compositeurs et des pianistes d’un son plus puissant, et de plus grandes possibilités expressives.

Des facteurs de piano profitent de nouveaux procédés technologiques pour produire des cordes en acier de qualité et  des cadres en fonte plus performants.

La tessiture augmenta, pour passer de 4 octaves et demie (5 octaves à l’époque de Mozart, 6 1/2 à l’époque de Chopin) aux 7 octaves 1/4, et parfois plus. Postérieurement 8 octaves voire, aujourd’hui exceptionnellement, 8 1/2.  Au fil des années, les instruments devinrent plus grands, plus puissants, et plus robustes.

 

Naissance du Piano moderne

Un collaboration concurrentielle entre les facteurs situés dans les grandes puissances qui possédaient un usage social ou individuel de la musique, explique le développement que le piano moderne a connu au XIXe siècle.

Tandis que la bourgeoisie adoptait l’instrument et la pratique musicale, les musiciens-compositeurs sont passés du rang de laquais à celui de génies, et les pianos ont profité du développement industriel et scientifique.

Les Français, les Britanniques, les Allemands et, pour finir, les Américains ont été les acteurs de la transformation de l’instrument.

Dans les années 1820, le facteur de piano Sébastien Érard (1752-1831) est à la tête des pianos Érard,  robustes. Il est en concurrence avec le facteur autrichien Ignace Pleyel (1757-1831), fondateur des pianos Pleyel, plus légers.

Tandis que Chopin  préférait la légèreté des pianos Pleyel, Liszt préférait Érard.

– La firme Érard apporta les innovations les plus importantes, du point de vue de la mécanique de l’instrument : elle déposa le brevet du système à répétition double échappement, qui permet à une note d’être rapidement rejouée, même si la touche n’est pas encore revenue à sa position initiale ; une innovation que les grands virtuoses apprécieront. Le principe dit du « double échappement » devint finalement le mécanisme standard des pianos à queue.

Pleyel s’entoura d’excellents professionnels. Camille Pleyel (fils d’Ignace) fit construire à Paris une salle de concert portant le nom de son père (la salle Pleyel, inaugurée en 1927).

Mais la production française aura, à l’origine, largement bénéficié des apports de l’école d’outre-Rhin.

Jean-Henri Pape, à Paris, semble avoir été à l’origine d’innovations importantes : dès 1813 il filait (avec du cuivre) les cordes en acier pour les basses du piano. En 1826, il remplace la couverture en cuir des marteaux par du feutre (laine de mouton) bien tassé, permettant une harmonisation plus subtile du timbre au moment de la frappe. Le triple cordage du médium et de l’aigu est généralisé par Broadwood, à Londres, dès 1817. L’emploi de l’acier filé au diamant se généralise dès 1834, et sa qualité n’a cessé de s’améliorer jusqu’à aujourd’hui.

Au milieu du XIXes, les pianos GAVEAU connaissent une ascension rapide, produisant des pianos droits de qualité, qui s’inspiraient de la construction des instruments Érard.

le facteur J.G. Gaveau fait progresser leur mécanique, notamment concernant l’angle de l’échappement.  Il crée la « mécanique Gaveau » : ses pianos bénéficient alors d’une réputation de qualité. On doit aussi à ses pianos et à la famille Gaveau, la construction à Paris d’une salle de concert de renom, la salle Gaveau.

Entre 1824 et 1825, les facteurs renforçaient davantage les composants métalliques utilisés dans la fabrication des pianos.  Alpheus Babcock, un facteur américain, a apporté une innovation importante en 1828. Il a opté pour l’utilisation d’un cadre unique, connu sous le nom d’armature, placé au-dessus de la table d’harmonie, pour soutenir la tension croissante des cordes. Cette tension accrue résultait à la fois du nombre et du poids des cordes.

En parallèle, Babcock a également décidé de croiser les cordes du piano (les cordes basses passant au-dessus des cordes blanches et portant sur un chevalet séparé). Cette disposition présentait plusieurs avantages, notamment une distribution plus équilibrée des tensions à travers l’instrument. De plus, cette configuration a permis d’obtenir des cordes plus longues tout en occupant moins d’espace. Ce changement a eu pour effet d’améliorer la capacité de vibration du son émis par le piano, entraînant ainsi une augmentation significative de sa puissance sonore. En résumé, ces ajustements ont marqué la naissance de la configuration moderne des cordes de piano telle que nous la connaissons aujourd’hui. Il montre également un intérêt pour l’enveloppe des marteaux.

Jonas Chickering assimile les avancées de son prédécesseur. En 1843, il dépose un brevet pour un cadre en une seule pièce (sans croisement des cordes) destiné aux pianos de concert.

Heinrich Engelhard Steinweg, anglicisé en Henry E. Steinway (1797-1871), de Wolfshagen, (Allemagne) émigre à New York en 1850. La pédale tonale est présentée en 1844 à l’Exposition de Paris par Louis-Constantin Boisselo. Le piano de concert moderne atteint quasiment sa forme actuelle dès le dernier quart du XIXe siècle. Sa forme vient donc d’une idée d’origine italienne, reprise, améliorée, et propagée par les Français et les Allemands, puis développée et industrialisée par les Britanniques, ce à quoi les Américains se sont ensuite joints. Finalement, un apport allemand a scellé cette évolution il y a environ 150 ans, donnant naissance à une synthèse qui demeure aujourd’hui encore un standard en vigueur.

 

Le piano dans le monde : une forte concurrence :

Le XVIIIe siècle a marqué l’ère de la fabrication artisanale des pianos en atelier, une pratique qui s’est répandue dans de nombreux endroits. Certains de ces ateliers ont même survécu à la transition vers l’ère industrielle, notamment en France.

Dans d’autres pays industrialisés, le XXe siècle a été témoin d’une croissance impressionnante de l’industrie du piano, comme au Japon avec Yamaha depuis 1900. Si ces pianos sont appréciés par certains,  d’autres pianistes et mélomanes estiment que leur sonorité est trop standardisée et dépourvue de personnalité.

ll est important de souligner que le son distinctif du piano français, connu pour sa sonorité « à la française » ou « romantique », demeure toujours recherché et admiré par certains pianistes de renommée.

Yamaha demeure engagé dans une recherche constante en acoustique pour améliorer ses instruments. Cette expertise s’est d’abord propagée au Japon avec la fondation de Koichi Kawai, un ancien de Yamaha, en 1927. Par la suite, elle s’est étendue en Corée avec la création des pianos Young Chang et de Samick.

L’essor rapide de la production de pianos en Asie a eu un impact néfaste sur les fabricants de pianos historiques en France à partir de la seconde moitié du XXe siècle.

Le marché des pianos neufs en France connaît une baisse drastique.

L’augmentation des acquisitions de pianos numériques en substitution des pianos acoustiques, en raison de leur encombrement moindre et de leur prix plus abordable, a également contribué à renforcer cette baisse significative depuis les années 2000.

En Russie, la fabrication de pianos a connu une période de croissance significative, surtout au XIXe siècle. Bien qu’il y ait eu quelques usines en URSS, celle qui a réussi à survivre malgré les défis se situe en Estonie et porte le nom d’Estonia.

 

Le piano moderne :

Le clavier d’un piano moderne a généralement 88 touches. Il y a 52 touches blanches pour les notes de la gamme diatonique de do majeur et 36 touches noires pour compléter la gamme chromatique. En règle générale, le clavier couvre 7 octaves et un quart.

Les touches du piano sont souvent en épicéa ou en tilleul, des bois légers. Les touches blanches mesurent normalement 13,8 cm sur 2,3 cm avec un espace de 1 mm entre elles, tandis que les touches noires font généralement 7,8 cm sur 0,9 cm. À l’époque, les touches noires étaient recouvertes d’ébène et les touches blanches étaient en ivoire. Cependant, en raison de la protection des éléphants, on a dû remplacer ces matériaux par des synthétiques. Certains pianistes optent même pour des plastiques imitant l’ivoire pour une meilleure durabilité.

Le clavier n’a pas beaucoup changé entre l’invention du piano par Cristofori et la fin du XVIIIe siècle, passant de 54 à 60 touches. Au XIXe siècle, il est passé de 60 à 88 touches, le standard actuel. Certains pianos ont dépassé ces 88 touches, atteignant jusqu’à 102 touches. Par exemple, Bösendorfer propose 97 touches depuis 1909 avec son modèle « Impérial, » et Stuart & Sons propose des pianos avec 102 touches. Actuellement, Bösendorfer noircit les touches blanches pour ne pas perturber les pianistes habitués au clavier de 88 touches, tandis que Stuart & Sons n’apporte pas de modifications spéciales, comme cela se faisait au XIXe siècle.

Peu d’œuvres explorent pleinement les possibilités offertes par les claviers de piano étendus. L’exemple le plus célèbre est probablement celui de « Une barque sur l’Océan, » la troisième pièce des « Miroirs » composée par Ravel en 1905.

Des indications similaires d’exploration de cette étendue exceptionnelle se retrouvent ailleurs, par exemple dans les compositions de Ravel « Jeux d’eau »  et  « Scarbo ».

On en trouve chez Mozart (Concerto no 17 KV 453 III, m. 56) ou un peu partout chez Beethoven (notamment dans la Hammerklavier, m. 115) et plus rarement chez Chopin (1re étude op. 10 m. 25-26 et Fantaisie op. 49 m. 24, 32, 112 et 116).

Certains compositeurs ont exploré les fréquences extrêmement basses du clavier: par exemple : Scriabine , à la fin de sa sixième sonate  ‘1912 ; ou Bartók, dans son deuxième concerto (1931).

L’Union soviétique n’a pas semblé accorder la même priorité à cette exploration que les Américains. Comme par exemple, Chostakovitch, dans son concerto op. 102.

Il existe des pianos contemporains rares qui ont moins de 88 touches, tandis que de nombreux pianos anciens en ont seulement 85. La gamme de notes qu’un compositeur utilise dans une composition dépend des ressources disponibles à son époque. Certains compositeurs ont plaidé en faveur de l’expansion de l’étendue du piano, et Beethoven est un exemple marquant, car il a eu la chance de voir son instrument étendu d’une octave et demie de son vivant. Pour qu’une œuvre puisse être jouée et partagée avec un large public, elle doit être réalisable sur les pianos disponibles pour les musiciens du futur.

Peu d’œuvres explorent les claviers étendus, parmi lesquelles Une barque sur l’Océan (3e pièce des Miroirs, de 1905) se distingue, Ravel intégrant un sol de 24 Hz à la 47e mesure, possiblement influencé par les rares Érard 3bis qui offraient une telle étendue, bien que leur nombre fût limité tout au long de la vie de Ravel. D’autres tentatives d’utiliser cette gamme apparaissent dans les Jeux d’eau (mesures 55 et 59) et le Scarbo (mesure 15). Ces « contractions » stylistiques, résolues différemment par les compositeurs à travers les époques, constituent un héritage ancien, observable chez Mozart (par exemple, Concerto no 17 KV 453 III, m. 56), Beethoven (notamment dans la Hammerklavier, m. 115) et plus sporadiquement chez Chopin (1re étude op. 10 m. 25-26 et Fantaisie op. 49 m. 24, 32, 112 et 116).

En revanche, Scriabine, en 1912, conclut sa 6e sonate avec un ré de 4 597 Hz à la 370e mesure de la portée supérieure (et 365 de l’inférieure), jouable uniquement sur les pianos australiens du Stuart & Sons à 102 touches, tels que le modèle « Grand Concert ». Dans le même esprit, Bartók, en 1931, descend au fa de 21 Hz et au sol de 24 Hz dans son 2e concerto, notamment à la 295e mesure du 1er mouvement (et m. 305 du 1er mouvement et m. 325 du 3e mvt.). Il semble considérer cette étendue comme normale, traitant la transposition de l’orchestre de manière similaire avec un Bösendorfer. Busoni, promoteur de la dernière étendue du piano dans le grave, fait peu usage de ces notes supplémentaires en tant que compositeur, descendant rarement en deçà du sol de 24 Hz, comme à la fin de la Toccata BV287 ou à la fin du 4e mouvement du 1er cahier indien BV267.

Malgré les efforts novateurs de Scriabine, l’Union soviétique ne donnait pas la priorité à la compétition avec les Américains pour l’étendue du clavier, comme illustré par Chostakovitch dans son concerto op. 102 (m. 258 et 266 du 3e mvt.), où l’écriture du contre sol à l’octave est omise.

Les pianos contemporains avec moins de 88 touches sont rares, tout comme de nombreux pianos anciens qui n’en possèdent que 85. L’étendue de l’écriture d’une œuvre représente un compromis du compositeur avec les moyens de son époque, certains plaidant, à l’instar de Beethoven, pour l’extension de l’instrument et profitant, de son vivant, d’une octave et demie supplémentaire. Afin d’assurer la diffusion d’une œuvre, celle-ci doit rester jouable sur les pianos dont disposent les futurs interprètes.

Le mécanisme[modifier | modifier le code]

Mécanisme d’un piano à queue (légende).
Mécanisme d’un piano droit (légende).

Le mécanisme essentiel dans le fonctionnement d’un piano est le mécanisme d’échappement. Si la touche et le marteau étaient directement liés, le marteau resterait coincé sur la corde, entraînant une suppression du son lors de sa propulsion vers celle-ci. Afin d’éviter cette atténuation sonore, le marteau est propulsé par le biais d’une pièce en forme d’équerre appelée le « bâton d’échappement ». Ce dernier bascule vers l’arrière lorsque sa partie horizontale atteint un dispositif réglable appelé le « bouton d’échappement ». Ainsi, le marteau est libre de revenir en arrière dès qu’il a frappé la corde, permettant à celle-ci de vibrer sans être étouffée par le marteau.

(Source : Wikipedia)

Les bienfaits de la Musique

Les bienfaits de la musique sont nombreux et diversifiés, offrant une palette variée d’avantages. En tant que langage universel, la musique joue un rôle fondamental dans le bien-être humain. Elle facilite les connexions au-delà des mots et transcende les générations, engendrant ainsi une multitude d’effets positifs.

La musique procure des expériences sensorielles et corporelles gratifiantes, renforçant les liens sociaux grâce à la possibilité de partager le plaisir musical avec nos proches. Elle marque les moments essentiels de notre vie émotionnelle et contribue à façonner notre identité.

La musique représente une évasion temporaire vers le bonheur quotidien, favorisant l’optimisme. Elle a également des propriétés apaisantes sur l’anxiété, améliorant la concentration, la mémoire et le langage.

Lorsque nous écoutons de la musique au moment approprié, notre cerveau libère de la dopamine, créant ainsi une sensation de bien-être tant sur le plan physique que mental. La musique exerce une influence positive sur notre comportement et nos émotions, contribuant à atténuer les tensions sociales.

Enfin, la musique peut également jouer un rôle thérapeutique, procurant apaisement, stimulation et sollicitation tant pour le corps que pour la mémoire, ce qui constitue l’essence même de la musicothérapie.

La musicothérapie offre de nombreux avantages pour le bien-être physique et mental. Cette approche permet aux individus d’exprimer leurs émotions à travers la musique, que ce soit en participant activement en improvisant des chansons ou en jouant d’un instrument, ou en adoptant une approche plus réceptive axée sur l’écoute musicale. Elle constitue une alternative douce aux médicaments anxiolytiques et neuroleptiques, parfois même capable de réduire leur utilisation. De plus, la musicothérapie peut être adaptée en fonction des préférences musicales du patient et de son niveau d’audition.

Même en l’absence de compétences musicales préalables, la musicothérapie offre de multiples bienfaits à ceux qui se trouvent dans des situations de solitude, de maladie ou de dépression :

  1. Elle améliore l’humeur, notamment lors de longues hospitalisations, en aidant les patients à mieux vivre leur séjour et à renforcer leurs relations avec leur famille et le personnel soignant.
  2. Elle contribue à la gestion de la douleur en stimulant la production d’endorphines grâce à une musique apaisante, ce qui réduit la douleur et l’anxiété. Elle est utilisée dans les soins palliatifs, avant ou après une opération, ainsi que dans le traitement des douleurs chroniques.
  3. Elle favorise la stimulation de l’activité cérébrale en libérant de la dopamine lors de la pratique musicale, ce qui stimule la créativité et entretient la mémoire, surtout chez les personnes jouant d’un instrument.
  4. Elle améliore la perception de l’effort physique, modifiant ainsi la sensation de fatigue grâce aux endorphines analgésiques qui procurent de l’énergie.
  5. Elle réduit le stress en renforçant la résilience et en abaissant les niveaux de cortisol, l’hormone du stress.
  6. Elle encourage un sommeil de qualité en favorisant l’endormissement grâce à une musique apaisante, tout en influençant positivement les muscles, la tension, la respiration et le rythme cardiaque.

Le PIANO : un instrument roi

Le Piano : un instrument très complet :

Le PIANO est un instrument très complet : mélodique, harmonique, polyphonique.

Il est souvent conseillé aux enfants de commencer la musique par le PIANO.

L’enfant peut ensuite choisir de continuer le piano, ou de choisir un autre instrument.

Les conservatoires regorgent de demandes d’inscriptions pour les classes de PIANO, et incitent ou obligent votre enfant à orienter son choix vers un autre instrument : tenez bon! refusez si le PIANO vous tient à coeur, quitte à inscrire votre enfant en classe de formation musicale (solfège) pendant un an, puis à renouveler la demande d’inscription en classe de piano l’année suivante: votre enfant n’en aura que des bénéfices; le solfège « rébarbatif » d’autrefois a disparu ; les professeurs sont conscients de la demande et des capacités du jeune public actuel, tout en tenant compte des exigences posées par la musique et par l’étude de l’instrument. Les enfants doivent apprendre à lire la musique, et comprendre le rythme : c’est un fait. Mais les enfants sont ravis de se retrouver en groupe avec des amis de leur age et de partager avec eux des activités : la formation musicale est aussi un acte social, en plus d’être un partage musical. Le solfège est actuellement plus « musicalisé » qu’autrefois, ne serait-ce que par le fait que les morceaux de lecture et de chant étudiés en cours portent désormais sur des oeuvres du patrimoine, et non sur des exercices de solfège pur. Il y a moins d’exigence qu’autrefois sur la théorie musicale rigide, et sur les dictés musicales.

Beaucoup d’élèves de conservatoires ou d’écoles de musique, ou d’écoles associatives de musique peinent à passer les examens annuels ; dans ce cas, il ne faut pas hésiter à engager un répétiteur en dehors, et en plus des cours ; celui ci aidera l’élève à comprendre ce qu’on attend de lui au conservatoire, et lui apprendra à travailler le piano et le solfège avec efficacité ; choisissez un professeur qui connait les différents styles de musiques, et notamment la musique classique, qui est une base importante.

 

Une formation originale : le quatuor de saxophone

DIMANCHE 7 SEPTEMBRE – 16H

M. Ravel,Quatuor en fa majeur
M.Tajcevic, Sept danses balkaniques
K. Beffa,Fireworks (extraits)
T. Escaich,Tango Virtuoso
P. Geiss, Patchwork

Quatuor Morphing,
quatuor de saxophones

Une formation originale : le quatuor de saxophone, surtout sur du répertoire de musique classique ou populaire interprété par des musiciens classiques. Connaissant par coeur le quatuor de Ravel original conçu pour les cordes, j’appréhendais plutôt ce concert. Mais j’y eu le plaisir de retrouver cette si belle composition de Ravel que je savourais entourée par les grands arbres du Parc. Les oeuvres suivantes populaires écrites et interprétées par des musiciens plutôt classiques étaient mélodieuses. On remarque encore l’orientation éclectique de la programmation, même sur cette 2e partie, « classique au vert » du mois d’août-septembre, qui s’enchaîne à la 1e partie tournée vers « le jazz et les musiques du monde ».

Quartette!

Le concert était complet comme toujours et le public enchanté. Cela le consolait sans doute des pluies intempestives du mois d’août 2014 parisien …

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Voici le morceau « Patchwork » de P. Giess : qui démarre sur un ostinato, que le quartette a interprété au Parc Floral  :

L’église Sainte-Croix des Arméniens

[:fr]Détrompez-vous! Même sans gros revenus, vous pouvez vous amuser et écouter de la belle musique dans Paris! (surtout pendant l’été) : j’ai donc assisté à deux concerts de piano à l’église Sainte-Croix des Arméniens (Paris 3e), issus d’une série de concerts proposés  :

Récital de piano pendant lequel j’ai pu entendre « Gaspard de la nuit » de Ravel, une oeuvre qui m’est très chère, que j’avais découverte par un des spécialistes de Ravel, Vlado Perlemuter, que j’aime tant, et dont voici un enregistrement (n’oubliez pas d’écouter le « Gibet » à 7:22 ) :

Récital de piano par Karolina Glab, au programme : œuvres de J.-S. Bach, Beethoven et Chopin.

Des artistes intéressants proposant un répertoire varié très travaillé.

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Cambridge Voices, dir. Ian de Massini, et David Noël-Hudson (orgue),

Au programme : œuvres de Victoria, Rachmaninov, Ravel…

le Vendredi 15 Août: entrée libre à l’Église Saint-Louis-d’Antin – Paris 9e :

Pourquoi s’en priver? Concert unique! : les choristes anglais de hauts niveaux (pourtant amateurs), exploitaient les qualité sonores de l’architecture de l’église: placés tantôt en face des auditeurs, près de l’autel, en cercle autour du public (répartis sur toute la longueur de l’église pour utiliser son dôme comme cavité sonore), les solistes situés aux deux bouts de l’église : encerclant ainsi l’auditeur de polyphonie totale, elle-même mise en valeur par l’écho naturel de l’architecture. Une prestation magnifique à ne pas rater dans cette église, chaque année au 15 août à 16h à l’église Saint-Louis d’Antin (Paris 9e), et à 11h à l’église Saint Etienne Dumont (Paris 5e).

Cambridge Voices

"Classique au vert" : le Festival au Parc Floral de Vincennes" ( Juillet & Août)

[:fr]Romain Leleu, trompette – Ensemble Convergences, quintette à cordes interprètent :
– B. BartókDanses populaires roumaines – F. Mulsant, « Sextuor pour trompette et cordes » : B. BrittenExtraits de la Simple Symphony pour cordes – G. BizetFantaisie sur Carmen G. Bizet, Adagietto – extrait de l’Arlésienne – A. C. Jobim, Chega de Saudade
A. Piazzolla, Trois tangos


Romain Leleu, un trompettiste à la sonorité chaleureuse, un grande technique, interprétant aussi un répertoire hétéroclite, ce qui semble être le choix des programmateurs de « Classique au vert » de 2014. Partageant avec « l’ensemble Convergences » une complicité, une complémentarité, sur un répertoire varié. Personnellement, j’ai adoré l’arrangement des pièces originales pour  piano de B. Bartok « Danses populaires roumaines ». Mais je suis une inconditionnelle de B. Britten, ce magicien de la composition. Un très beau concert par un temps stable, bien mérité après la pluie incessante du mois d’août 2014… un parc magnifique entretenu par des grands professionnels…

Parc Floral musiciens-14-08-17 (1)

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Ecoutez-donc un extrait pour découvrir cet ensemble et aller le voir dès qu’il se représente:

Au PARC FLORAL de VINCENNES SAISON 2018 :

  • PARIS JAZZ FESTIVAL :

http://fr.parisjazzfestival.fr/2/paris-jazz-festival/
Programmation 2018 :
http://fr.parisjazzfestival.fr/8/programmation-2018/

  • Le CLASSIQUE au VERT :

le festival a vu ses aides de la VILLE de PARIS diminuer de moitié, en conséquences de quoi : le festival « Classique au vert »  ne dure plus qu’un mois, et le « Paris jazz festival » ne dure aussi qu’un mois; le tout durant 2 mois au lieu de 4 mois par an.

Le programme est réduit, mais je conseille à tous de s’y rendre à cette adresse :

https://classiqueauvert.paris.fr/
programmation : https://classiqueauvert.paris.fr/category/programmation-2018/
 
Cette année 2018 j’ai assisté au concert du Classique au Vert du Quatuor Debussy se produisant avec Jacky Terrasson ; l’ensemble était assez remarquable : chacun s’écoutant, se complétant, sur des arrangements créés sur des compositions de Claude Debussy.
Voici le programme de ce concert :
Samedi 25 août 2018 à 16h

Debussy on Jazz !

Jacky Terrasson, Franck Tortiller, Quatuor Debussy

Quatuor Debussy
Christophe Collette et Marc Vieillefon, violons
               – Vincent Deprecq, alto
               – Cédric Conchon, violoncelle
Jacky Terrasson, piano
Franck Tortiller, percussions
1ère partie : Le Quatuor Debussy avec Franck Tortiller
Claude Debussy
La fille aux cheveux de lin/Minstrels/ Les sixtierces
Vernon Duke
I can’t get started with you
Franck Tortiller
Danza del vino (d’après La puerta del vino de C. Debussy)
Midi, do majeur (d’après Les tièrces alternées de C. Debussy)
Georges Gershwin
Bess, you is my woman now…
Tony Murena
Impasse des vertus
2ème partie : Le Quatuor Debussy avec Jacky Terrasson
Jacky Terrasson
Improvisations
Claude Debussy
Hommage à S. Pickwick Esq. P.P.M.P.C., Bruyères
Jacky Terrasson & Lionel Belmondo
Bussi’s Blues (d’après C. Debussy)
Pièce pour piano et quatuor

Lionel Belmondo
La plus que lente (d’après C. Debussy)
 
Dimanche 26 août 2018 – 16h
Cap à l’Est !
Ensemble 2E2M
Pierre Roulier, direction
Véronique Briel, piano
Didier Sandre, de la Comédie-Française, récitant
Leos Janáček, Sonatine pour piano
Igor Stravinsky, L’Histoire du Soldat
 
Le dernier week end sera très interessant :
Samedi 1er septembre 2018 à 16h :

ORCHESTRE DE CHAMBRE de PARIS :

Eivind Gullberg Jensen, direction
Hanna Hipp, mezzo-soprano
Maurice Ravel
Pavane pour une infante défunte
Jean Sibelius
Pelléas et Mélisande
Hector Berlioz
Nuits d’été

Dimanche 2 septembre 2018 à 16h

Classique au Vert Orchestra

Vers un monde nouveau…
Classique au Vert Orchestra
Pierre Mosnier,
direction
Arnold Schoenberg
La Nuit Transfigurée,
version pour ensemble à cordes
Aaron Copland
Appalachian Spring,
 [:]

"PARIS JAZZ FESTIVAL" : festival de Jazz de Paris, du Parc Floral de Vincennes, a fêté cette année ses 20 ans

[:fr]Muni d’un système de sonorisation nouveau, la restitution et projection du son permet à l’auditeur, où qu’il soit placé, de profiter pleinement du concert. En journée, ce dernier est frappé par la beauté de ce parc; en soirée, il entend le vent dans les arbres illuminés par un éclairage discret. Tout autour des plantations et fleurs magnifiques.  Non loin de la scène, un lac de Nénuphars nous rappelle les peintures de Claude Monet.

Parc Floral Nénuphards (4) Parc Floral Nénuphards (2)

Parc Floral Visite :


Le PARIS JAZZ FESTIVAL :

Bien qu’on regrette la qualité de la programmation qui était proposé par les anciens producteurs, on apprécie de pouvoir assister à des concerts pour 5,50 euros dans ce cadre idéal pour ceux qui ne partent pas à la campagne. En effet, la nouvelle programmation locale hétéroclite ne permet cependant pas comme avant de profiter d’un jazz comme certain aiment, mais plutôt de musiques diverses interprétée par les musiciens de valeur, cependant moins internationaux. Or si le jazz est local, il est aussi américain et mondial. Ceci s’explique sans doute pas une limitation du budget. Mais j’ai envie de penser à ceux qui n’ont pas les moyens de partir dans les grands festivals d’été divers pour entendre ce qu’on n’entend ps tout au long de l’année dans sa propre ville.

Un concours de circonstances ne m’ayant permis que d’assister au dernier concert, j’ai pu redécouvrir le QUARTETTE de JOSHUA REDMAN le dernier jour du festival de jazz.  J’ai été convaincue par la façon efficace et musicale dont ces musiciens restituaient une musique qui n’étaient pas révolutionnaire en terme de modernité, mais incroyable de technique, de musicalité, de mise en place:  interprétation d’une tradition teintée d’harmonisations plus actuelles. La synchronisation de la section rythmique était implacable : pas une erreur en terme de mise en place, de pulsation, de swing. L’interprétation de Joshua Redman à souligné la maîtrise de ce saxophoniste sur le plan technique et rythmique, au niveau de l’articulation, du phrasé, et de la musicalité. La cohésion de l’ensemble a impressionné le public qui applaudissait à tout rompre, qu’il soit connaisseur ou non. Les mises en place de « 4/4 » ou « solos » du batteur Gregory Hutcherson étaient parfaitement conçues, encadrées par le tempo implacable du contrebassiste à l’oreille fine, Reuben Rogers, et par les relances du pianiste articulé, Aaron Goldberg. Personnellement j’aime entendre en direct ce que je ne peux entendre que sur CD, habitant loin du lieu ou se crée ce type particulier de jazz , et à ce niveau.

Hutcherson (1) Goldberg Aaron (1)

Rogers Reuben Redman-Rogers-Hutcherson-Goldberg (1).

Ecoutez donc cette belle prestation :

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Concert de Paris au Champs de Mars ce 14 juillet 2014

Hier soir, très beau concert au Champs de Mars pour le 14 juillet, dédié au célèbre chef d’orchestre décédé il y a quelques jours. Lorin Mazel (1930-2014).

Le concert adopte pour thème « Guerre et Paix » au travers d’oeuvres interprétées par l’Orchestre national de France, le Choeur et la Maîtrise de Radio France, sous la direction de Daniele Gatti. Avec Natalie Dessay, Anna Netrebko, Olga Peretyatko, Elina Garanca, Piotr Beczala, Lawrence Brownlee, Laurent Naouri.

On comptait 400 000 spectateurs venus picniquer, écouter le concert, et voir le feux d’artifice ; un fête à laquelle j’ai moi-même assisté, exceptionnelle, d’autant plus que le temps était divin, la lune superbe, l’éclairage magnifique. Une très belle soirée: Merci à la Ville de Paris!

Des interprètes incroyables. Un orchestre de qualité. Tout était si beau. Si les interprétations ont l’air faciles, ne vous y fiez pas! une vie de travail acharné pour musiciens.

La maîtrise de Radio France : met en scène de jeunes chanteurs semi-professionnels. J’encourage mes élèves à s’y inscrire et/ou comme d’ailleurs au conservatoire. Ils peuvent s’inscrire en « horaires aménagés » (CHAM) et suivre un cursus musique et un cursus scalaires adapté. Je peux les suivre comme coach en parallèle (ce que je fais avec succès avec plusieurs de mes élèves).

La programmation  :
Hector BERLIOZ : La Damnation de Faust « Marche de Rákóczy » – 
DONIZETTI :  « Una furtiva lagrima » Lawrence Brownlee (à l’affiche du Festival d’Aix en-Provence dans Le Turc en Italie)
- John WILLIAMS : Star Wars, Thème principal
 – Gaetano DONIZETTI : La fille du régiment, Salut à la France … – Pour mon âme avec Olga PERETYATKO, Lawrence BROWNLEE et le Choeur de Radio
 – Georges BIZET : Carmen, avec la garde montante, avec la Maîtrise de Radio France – 
Giuseppe VERDI : Aïda / Céleste Aïda, avec Piotr BECZALA
 – Gottfried Heinrich STOLZEL : Bist du bei mir avec Natalie DESSAY et Laurent NAOURI
 – Edward ELGAR : Pomp and circumstance, March n°1, avec le Choeur de Radio France
 – DONIZETTI :  « Ah mes amis! » avec Lawrence Brownlee
Léo DELIBES : Lakmé, Malika…, avec Olga PERETYATKO et Elina GARANCA
 – Giacomo PUCCINI : Tosca « E lucevan le stelle », avec Piotr BECZALA
 – Richard WAGNER : La Walkyrie « Walkürenritt »
Umberto GIORDANO : Andrea Chénier, « La mama morta » avec Anna NETREBKO
 – Jacques OFFENBACH : La Grande duchesse de Gerolstein, Ah que j’aime les militaires, avec Elina GARANCA et le Choeur de Radio France – 
Michel LEGRAND : Les Parapluies de Cherbourg, J’avais tellement peur de ne pas te trouver avec Natalie DESSAY et Laurent NAOURI
 – Piotr Ilyitch TCHAÏKOVSKY : Ouverture 1812, Final – 
BERLIOZ : La Marseillaise avec tous les chanteurs solistes, le Choeur et la Maîtrise de Radio France.

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FEUX d’ARTIFICE à 23h : superbe, plein de couleurs, d’émotions, de rythmes,; accompagné de musique. Cela fait plaisir de voir que les gens réunis appréciaient. Ils ont passé toute la soirée au parc. Arrivant souvent très tôt pour picniquer, puis assister au concert qui réunissait de grands musiciens qu’il est impossible d’ordinaire de voir tant les taris de ce type de concerts sont élevés. Une très bonne sonorisation permettait à tous d’entendre parfaitement, et de grands écrans permettaient à ceux du fond du parc de profiter. La tour Eiffel colorée d’éclairages recherchés, apparaissait comme un rêve. Une réussite.

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Fête de la musique – 21 juin 2014

Je me suis régalée! Profitons de ces moments artistiques, musicaux, pour mieux apprécier Paris (notamment pour ceux qui restent en ville pendant l’été); Paris est beau ; nombreuses manifestations sont gratuites et ouvertes à tous;

La fête de la musique était bien organisée; de nombreux groupes intéressants de tous styles; pour ma part, je recherche plutôt de la musique acoustique non amplifiée (ou très peu : en jazz par exemple seulement la contrebasse et la /le chanteuse /eur, mais pas plus.

A cet effet, il y avait des chorales de rues, des formations instrumentales acoustiques classiques ou jazz ou autres; du Gospel; je me promenais de rues en rues pour atterrir au Champs de Mars que j’aime tant : bien entretenu, sécurisé  la nuit, du vent soufflant dans les grands arbres, me rappelant ainsi la campagne ; et surtout s’amuser, découvrir, rencontrer des gens, partager, rire.

Merci à la Ville de Paris

La pratique instrumentale

Le piano est un instrument polyvalent. Le pianiste peut le pratiquer en solo, s’accompagner lui-même en chantant, accompagner un chanteur, un instrumentiste, faire de la musique de chambre, ou trouver sa place en orchestre (notamment dans les concertos) et cela dans toutes les esthétiques musicales, genres, époques.

Le travail instrumental est solitaire, mais il stimule la concentration, et offre un refuge à celui qui le pratique, aidant le pianiste à savourer une tranquillité et un bien être dans la complicité qu’il établit avec l’instrument.

Nombreux sont ceux qui ont « du mal à s’y mettre », mais une fois la discipline et le rythme quotidien établit, la pratique est très régénérante. Elle entraîne la progression qui est valorisante pour l’enfant comme pour l’adulte. Ceci est valable pour tous publics, qu’ils soient professionnels ou amateurs, quel que soit leur age, niveau, ou le style ou genre de musique qui les intéresse.

J’encourage donc mes élèves à trouver un rythme, un créneau horaire réservé à la pratique instrumentale et musicale.

Le travail des jeunes enfants

Les jeunes enfants semblent parfois avoir les doigts mous, mais ceux-ci deviendront rapidement souples et fermes avec le travail des gammes et exercices. Une force musculaire s’en dégagera dans le temps. Il faut penser davantage en terme de potentiel chez un enfant qu’en terme de réussite immédiate.

Cependant, pour qu’un enfant réussisse dans l’apprentissage du piano, il faut stimuler sa motivation, et celle des parents afin qu’ils aident l’enfant à travailler l’instrument et la lecture chaque jour à la maison, entre ses leçons. C’est indispensable à la progression et à l’émulation.

Avec le travail du piano et de la lecture, l’enfant développe une oreille musicale, et s’éveille intellectuellement et artistiquement.  Il prend confiance en lui, s’autonomise, gagne en concentration, et ses capacités intellectuelles augmentent. Cela l’aide donc indirectement aussi dans ses résultats scolaires. Le travail instrumental est très structurant, surtout s’il est régulier. Inutile de pratiquer longtemps irrégulièrement, car la pratique concentrée et répétée quotidiennement est la plus porteuse à tous points de vue.

Conditions générales, tarifs.

Pour toute précision :
voscoursdepiano@gmail.com
0638956296

CONDITION GENERALES, TARIFS :

* la motivation vient de la progression, qui implique un petit travail :                                             *une pratique de 15 à 20 minutes/jour est donc recommandée.

Il est possible de s’inscrire à tout moment de l’année.

DEROULEMENT des COURS  :

– Les cours durent 1h ; à votre domicile : Paris Sud (Paris 14, 15, sud du 16e) et banlieues Sud 92 (Malakoff, Bagneux, Vanves, Issy-les Moulineaux, Chatillon, Montrouge, Meudon, Clamart).

-Les cours particuliers à domicile sont éligibles au crédit d’impôt par le CESU (Ursaff).

TARIFS : 40€ cours à l’unité

FORFAITS :
A l’ ANNEE Scolaire : 35€/h  (36 cours )

+ Frais de stationnement.

Défiscalisation  : Payable par Le CESU Ursaff :
– 1 cours à 35€ revient à 31,27€ après défiscalisation

https://www.cesu.urssaf.fr/info/accueil/utiliser-le-cesu/le-service-cesu/le-cesu–quest-ce-que-cest.html

https://www.cesu.urssaf.fr/info/accueil/s-informer-sur-le-cesu/tout-savoir/c-est-quoi-pour-qui.html

N’hésitez pas à me joindre par e-mail, téléphone ou sms pour toute précision :
voscoursdepiano@gmail.com
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